Magic ciné : En corps

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Date :
Prix :
3€
Lieu :

Salle de la Concorde

12, rue Louis Barbier
76540 Valmont

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Chaque 1er mardi du mois, Magic Ciné,  le ciné club des Magiciens de la Nuit propose une soirée à la salle de la Concorde de Valmont avec projection d’un film court métrage suivi d’un film long métrage.

Nouvel horaire: Court métrage 20h30  Film 20h45

20h30  Court métrage

Le Valmont d’Antan

En rapport avec le film « En corps »- 14mn28 – tourné sur la place du village en 1995 qui montre un groupe de musiciens/chanteurs/danseurs russes en action.
Il présente plusieurs intérêts :
– la manifestation folklorique russe est parfaitement inédite sur la place du village. Elle est très dynamique et de qualité.
– la place du village en 1995 a changé (Hôtel, Caisse d’Epargne, charcuterie…)
– le rapport à la danse (sujet principal du film « En corps »).
– le rappel des rapports franco-russes de l’époque, dans ses aspects culturels, est intéressant avec un regard d’aujourd’hui.
– l’hommage à Mme Godet (à l’initiative de la venue de la troupe), valmontaise d’origine russe, évoquerait des souvenirs pour les Valmontais qui ont fréquenté son magasin de droguerie situé alors sur la place.

20h45 Projection du long métrage

A l’affiche ce mois-ci:  « En corps »

Mars 2022 – 1h 58min Un film de Cédric Klapisch

Avec Marion Barbeau, Hofesh Shechter, Denis Podalydès

Synopsis:

Elise, 26 ans est une grande danseuse classique. Elle se blesse pendant un spectacle et apprend qu’elle ne pourra plus danser. Dès lors sa vie va être bouleversée, Elise va devoir apprendre à se réparer… Entre Paris et la Bretagne, au gré des rencontres et des expériences, des déceptions et des espoirs, Elise va se rapprocher d’une compagnie de danse contemporaine. Cette nouvelle façon de danser va lui permettre de retrouver un nouvel élan et aussi une nouvelle façon de vivre.

Critique:

La bienveillance au programme  » En corps » est un film qui donne la pêche, qui montre qu’on peut résister au lieu de se rouler en boule dans un coin et de chouiner, indique Muriel Robin. C’est une façon d’envisager l’adversité qui me convient. »